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Avec énergie détermination et une allégresse communicative, CASABLANCA propulse le MAROC vers l’avenir.

L’ancien défenseur central brésilien de l’olympique de Marseille vient de rejoindre le Raja où il dirigera l’équipe senior pour une durée de 1 an.

La signature du contrat a eu lieu ce matin au siège du club en présence de Mr Abdellah RHALLAM, Président du Raja.

Notons que le nouvel entraîneur du Raja qui a terminé sa carrière de joueur au Portugal dans les rangs du Benfica Lisbonne, avant de devenir l’adjoint de José Mourinho dans le même club (2000/2001), a entraîné l’Inter Club de Lunda durant deux saisons (2006/2007 et 2007/2008) ; club avec lequel il a été champion d’Angola durant deux saisons et a aussi été vainqueur de la coupe d’Angola .




Le nouveau coach du Raja fera connaissance avec ses joueurs lors de la reprise de l’entraînement prévue le 15 juillet 2009.

Carlos Mozer hérite d’une équipe championne du Maroc, beau challenge en perspective !

Raja club Athlétic

source:infodumoment1365.football.fr

Le Club Etrier de Casablanca a remporté, vendredi, le Prix SAR la Princesse Lalla Amina de saut d'obstacles, comptant pour le championnat national des clubs, disputé dans le cadre de la Semaine du Cheval qui se déroule au Royal Complexe des sports équestres et Tbourida de Dar Es-Salam à Rabat, sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI.


La médaille d'argent est revenue au Royal Complexe des Sports Equestres et Tbourida de Dar Es-Salam à Rabat, alors que le Club Equestre Oued Ykem de Skhirat s'est emparé de la médaille de bronze.

Au terme des épreuves, SAR la Princesse Lalla Amina, présidente de la Fédération royale marocaine des sports équestre a remis les médailles aux vainqueurs.

Ci-après les résultats:

1. Club Etrier de Casablanca.

(Abdeslam Bennani Smires, Badr Khiati, Majid Djaidi).


2. Royal Complexe des sports équestres et Tbourida de Dar Es-Salam à Rabat.

(Ilias Aissaoui, Ali Al Ahrach, Younes Salhi).


3. Club Equestre Oued Ykem de Skhirat.

(Farid Amanzar, Abdelkbir Ouaddar, Amine Kadmiri).

Depuis la crise, les introductions en bourse sont arrêtées. Les investisseurs et les épargnants restent méfiants.


MAROC. Si la bourse de Casablanca semble reprendre un peu de vigueur à la fin du premier semestre 2009, la tendance générale reste à la morosité.

« Le premier semestre n’est pas très bon, pour des raisons évidentes. La conjoncture mondiale affecte les entreprises marocaines qui travaillent sur les marchés internationaux, notamment dans le tourisme, mais aussi les équipementiers, qui voient leurs marchés se réduire (…) Les acteurs du marché, sensibles à cette conjoncture, ne font pas la différence entre sociétés qui se portent bien et sociétés en difficultés. On voit des entreprises avec de bons fondamentaux, mais dont le cours s’effondre », indique Abdelhak Errakhmi, président de la société de bourse Finergy.

L’indice Masi Flottant (Moroccan All Shares Index) a clôturé les six premiers mois de l’année en hausse de 14,36% à 11 588,55 points, mais en repli de 18,34% comparé à fin juin 2008 (14 191,07 points).

De son côté, la capitalisation boursière a atteint 553,90 Mds de dirhams au 30 juin dernier contre 496,88 Mds fin janvier 2009. Comparé à juin 2008 qui affichait 660,75 Mds, la bourse de Casablanca voit sa capitalisation baisser de 16,17% sur l’année.

Tandis que la tendance était à une dizaine d’introductions en bourse de Casablanca par an ces derniers temps, depuis la crise plus rien.

Méfiance des investisseurs
« La tendance est difficile car il y a à la fois méfiance des investisseurs et du marché. Nombre de sociétés qui étaient prêtes à se lancer en bourse ont stoppé le processus pour attendre un meilleur timing », explique le président de Finergy. Un élément qui accentue d’autant plus les carences structurelles de la bourse de Casablanca : à savoir le manque de profondeur et de liquidité du marché.

Côté valeurs, les plus fortes variations annuelles de cours impactant le marché (en raison de leur poids dans la capitalisation boursière) sont : Ciments du Maroc (-33,75%), la banque BMCI du groupe BNP Paribas (-14,13%), la compagnie immobilière CGI (-11,11%). A la hausse, le groupe immobilier Douja Prom Addoha gagne 43,69%.

Les valeurs moyennes comme la Snep (+39,88%) et Colorado (+50%), dans le secteur chimie, ainsi que les minières SMI (+60,90%) et Minière Touissit (+59,72%) s’en sortent très honorablement.

En revanche, la distribution automobile avec Auto Nejma (-31,43%), les services financiers comme Sofac (-18,47%) et Salafin (-8,33%), les boissons avec Oulmes (-18,44%) ou la pharmacie avec Promopharm (-15,66%) accusent le coup.

source:www.econostrum.info

Anfa était occupée par des pêcheurs berbères depuis la plus haute Antiquité et le port prospèra grâce aux relations commerciales avec la péninsule ibérique, mais le déclin du pouvoir de Fès amène les habitants d'Anfa à se rendre indépendants et à multiplier les raids de piraterie contre les côtes du Portugal. En représailles, les Portugais, en 1468, décident de l'attaquer. La ville sera détruite et restera inhabitée pendant trois siècles.


En 1770, le sultan Mohamed Ben Abdallah décide de reconstruire cette place. La ville est appelée Dar El Beida (maison blanche ou casa blanca en espagnol).
A partir du XIXe siècle, la ville se développe grâce au boom de l'industrie du textile. En 1860 Casablanca comptait 4 000 habitants, nombre qui s'éleva à 9 000 habitants à la fin des années 1880. La ville décida donc de se doter d'un port moderne, aidée par la France, détrônant ainsi Tanger comme premier port marocain dès 1906.

En juin 1907, les Français développent le réseau ferroviaire mais à la suite d'émeutes entre les travailleurs français et les résidents, la France envoie des troupes pour rétablir l'ordre et établit un protectorat.
Le 2 mars 1956, la France reconnut l'indépendance du Maroc. Casablanca développe alors le tourisme et devient le pôle économique du pays (bien que Rabat reste la capitale).

Casablanca aujourd'hui
La métropole est délimitée par la mer à l'ouest mais s'étend de plus en plus au nord à l'est et au sud. Elle est également marquée par une grande concentration de bidonvilles dans sa périphérie.

L'urbanisation et l'architecture de Casablanca sont marquées par différents styles, allant du néo-mauresque jusqu'à l'art-déco, puisqu'elle fut durant plusieurs décennies une "ville laboratoire" pour les grands architectes du monde. D'autre part, la ville a vu la multiplication de projets gigantesques, comme la mosquée Hassan II (dans les années 1980) ou encore la "Marina de Casablanca",le "Twin Center" et semble attirer de plus en plus d'investisseurs dans l'immobilier.

La ville de Casablanca continue néanmoins de souffrir d'un problème structurel de pollution, du à la mauvaise qualité des carburants, une activité industrielle soutenue et un parc automobile vieillissant.

Quelques quartiers de Casablanca
Le quartier d'Anfa est considéré comme le plus chic et le plus huppé du Maroc. En effet, il représente la puissance et la réussite des familles d'origine citadine qui y prédominent largement. Le prix des terrains rivalise avec celui des grandes métropoles internationales. Le quartier abrite de luxueux palais, des hôtels, mais est aussi un lieu de divertissement, grâce à ses discothèques, cinémas, restaurants, son golf et ses galeries marchandes, ainsi qu'avec sa corniche émaillée de clubs et de plages privées.

Le quartier du Belvédère est un des plus beaux quartiersde Casablanca. Situé au centre de la ville, il fait partie de l'arrondissement des Roches Noires. Sur la place principale se trouve un grand parc bien aménagé et la gare qui relie directement Casablanca à Rabat au nord, et Marrakech au sud du Maroc.

Le quartier Sidi Maârouf est le nouveau quartier d'affaires casablancais, situé à mi-chemin entre l'Aéroport international Mohamed V et le centre de Casablanca. Depuis quelques années plusieurs multinationales ont installé leurs sièges sociaux au sein de ce quartier qui ne cesse de se développer.

Le quartier de Bourgogne est situé au sud-ouest de la ville, à proximité de la Corniche où se trouve le cinéma le plus grand et le plus chic de Casablanca, le " Mégarama ". Il y a aussi plusieurs appartements de haut-standing. L'animation est omniprésente grâce aux cafés et restaurants qui restent ouvert nuit et jour.

A voir à Casablanca
La grande mosquée Hassan II, construite entre 1986 et 1993. Il s'agit - après La Mecque - de la deuxième mosquée la plus grande au monde, et le plus haut minaret au monde (200 m).

Le Megarama, un complexe de cinéma situé dans le quartier d'Ain Diab, c'est le plus grand cinéma en Afrique avec 14 salles de cinéma. Il dipose du 2ème plus grand écran de cinéma dans le monde après celui de Los Angeles.

La place Mohammed V : autour de cette place se dresse la wilaya de Casablanca dont le campanile d'inspiration toscane attire les regards. Voir aussi le Palais de justice d'inspiration arabo-andalouse et une fontaine spectaculaire.

Enfin, ne manquez pas le marché de Derb Ghallef (le marché joutya), un immense marché aux puces, une sorte de caverne d'Ali Baba en plein air !

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